« J’ai rien volé, je le jure » : au procès des arracheurs de colliers à Saint-Étienne (42), le dossier se dégonfle. L’un d’eux a été relaxé, le second, Abdelkader Touaref, n’a été condamné que pour trois faits sur les sept

Un box des prévenus, deux ambiances. Au moment du délibéré, l’un s’écroule en pleurs sur le banc. Il vient d’être relaxé. Le second écarquille les yeux, regarde la juge, son avocate, sa compagne dans le public, les paumes de ses mains tournées vers le plafond et reste bouche bée : « J’ai rien (…)